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 Théadora Billy Aasen-Monard

Théadora Aasen-Monard
Humaine Symbionte
Théadora Aasen-Monard
Messages : 211
Messages RP : 14

Date d'inscription : 06/09/2013
Âge du joueur : 33
Doublures : Europe / Skyler R. Jenselme / Io Xiell
Jauge d'influence : 12
Crédits : me
Avatar : Siri Tollerod

Âge : 27 ans
Code génétique : Être humain
Occupation : Serveuse / Chanteuse

Liens rapides :

Capacités spéciales : Maîtrise de la voix.

Inventaire : – Implant contraceptif (-> 16/07/2019)
– Pistolet


# Théadora Billy Aasen-Monard   
Jeu 26 Jan - 18:21

Fiche d’état civil

Siri Tollerod

Théadora Billy Aasen-Monard

Âge : 27 ans
Date de naissance :  31 Octobre 1990
Lieu de naissance : Saint-Denis
Statut marital : Célibataire
Faction : Symbionte
Occupation : Serveuse au Fuaim Giotár/ Chanteuse curieuse
Orientation : Bisexuelle


Description physique


La première chose qui marque c’est sa maigreur, la cause un bon métabolisme, mais pas que, la tonne de nicotine qu’elle consomme lui coupe la faim, elle mange très mal, mais peu (sinon elle aurait pas de quoi se payer des clopes), bref elle est tout sauf un bon exemple. Théa est grande elle fait 1m75 et elle n’a pas peur des talons (elle n'a d'ailleurs aucun problème à danser avec). Ses cheveux blonds et longs sont toujours détachés à part quand elle bosse comme serveuse ou elle se fait une queue de cheval. Théa aime le noir et le jean, elle ne connait pas vraiment d’autre couleur, ah si elle aime le bordeaux et le violet sur ses lèvres quand elle doit assurer le show. Elle n’a pas de tatouage, mais elle a des piercings, trois à chaque oreille, un au cartilage gauche, un à la langue et un sur chaque téton. Elle ne porte jamais de soutien-gorge elle s’en fiche elle n’a pas de sein, elle est plate comme une planche à repasser. Elle a une préférence pour les vêtement moulants, mais elle a une dizaine de t-shirt de groupe qu'elle aimait qu'elle adore encore mettre. Ses yeux sont bleu marine, on dirait des yeux de tueuse, elle a rarement l’air aimable, mais ce n’est qu’une impression, elle sait se montrer aimable quand elle travaille. Ses ongles sont mi-long, plus pratique pour jouer de la guitare. Elle chante tous les airs musicaux et la scène est bien l'endroit ou elle se permet toutes les folies vestimentaire, elle emprunte souvent à sa demi-soeur.

Position idéologique


Théa est symbionte sans avoir de bidule en elle, toute sa famille l’est, mais elle l’est surtout à cause de sa demi-sœur qui a décidé de devenir hôte, elle est surtout là en cas où les choses finisse mal pour sauver le cul à sa sœurette et accessoirement son cousin. De temps en temps elle effectue quelques missions tout de même notamment parce qu’elle est parfois invité à des fêtes impériales huppés, elle a sa petite réputation dans le monde de la musique. Mais une chose est certaine jamais elle deviendra hôte, une seule personne dans sa tête c’est suffisant.


Don – Contrôle de la voix


* Magnitude de voix extraordinaire : Sans être inhumaine, elle a de grande facilité d’aller du grave à l’aigu et inversement. Sa voix est ainsi capable de couvrir 3 octave naturellement sans arrangement informatique ce qui la met à égalité avec les meilleurs chanteurs classique. Elle ne sait cependant pas que c’est un don et ne se trouve même pas exceptionnelle.


Histoire


Je ne vais pas vous raconter mon enfance en détail ça ne servirait à rien, à la limite je peux vous la résumer. J’ai une demi-sœur ainée Susannah, sa mère est morte en couche, mon père deux ans plus tard à rencontrer ma maman et un an plus tard je suis née. Je ne suis pas née une cuillère en argent dans la bouche, ma mère était employé à mi-temps dans un cinéma, mon père était prof de boxe. La boxe un élément important dans ma vie, dans la vie de ma sœur aussi, notre père voulait qu’on sache se défendre alors on n’a pas eu le choix, tous les mercredis et les samedis c’était boxe et bien plus souvent lorsque tombait les vacances.  Il y avait aussi la chasse le dimanche, mon père avait fait ça durant toute son enfance, moi je détestais ça, mais au final ça m’aura bien été utile pendant l’épidémie. Mais parlons de ça plus tard, au collège je me suis inscrite à la chorale et tout est devenu clair, c’était ma vocation, j’ai commencé à apprendre la guitare avec Jimmy un garçon mignon, j’avais le béguin je me rappelle, mais j’étais une grande perche et j’étais banale, je lui ai jamais plus, j’étais juste sa pote. Au lycée, j’étais une pauvre petite rebelle, dès que j’ai eu 16 ans j’ai lâché les cours pour me lancer dans la musique, je crois que mon père n’a jamais été aussi déçu. Quand j’ai eu 18 ans j’ai tenté de jouer à un télé-crochet, mais ça n’a pas marché. Je ne sais pas trop si j’étais encore trop nulle ou pas leur style. N’empêche ça m’a bouleversée, pendant deux ans j’ai fait du mannequinat, il suffisait d’être grande et maigre, j’étais les deux. Je n’ai rien fait de glorieux, j’étais trop moyenne, mais ça plus mes petits concerts ça me permettait de vivoter. Je me suis aussi beaucoup droguée, puis un jour j’ai fait pleurer Susannah, j’avais trop bu j’étais en cellule de dégrisement, mon père ne voulait plus rien avoir à faire avec moi, alors c’est Susannah qui est venue, a payé ma caution et a pleuré. Là j’ai eu honte très honte, j’ai tout de suite arrêté la drogue et j’ai commencé à vivre avec ma sœur, elle était danseuse à l’opéra Garnier et moi je me suis lancée dans la musique, j’ai arrêté le mannequinat. Je suis devenue une sorte d’Amy Winehouse à la française sans les drogues, j’ai écrit des chansons, j’ai composé à la guitare et j’ai chanté seule sur scène sur un tabouret. Tout doucement j’ai pu acquérir un public fidèle, je n’avais pas encore sorti d’album, mais j’y étais presque lorsque les symbiontes sont arrivés. Suzy et moi on a de suite était d’accord on est rentré chez papa-maman.

Papa avait déjà préparé les réserves comme si une troisième guerre mondiale allait éclater. Il m’a serré dans les bras et m’a dit qu’il était heureux de me voir, c’était vraiment très bizarre. Maman nous a préparé sa fameuse tarte aux pommes et on l’a dévoré devant la télé, personne ne disait rien, mais tout le monde n’attendait qu’une chose, voir la tête de ses aliens. Quelques jours plus tard on a fini par voir ce qui ressemblait à un zoo. Ils disaient être pacifique, mais les parents ne voulaient pas nous laisser partir. On est donc resté des mois durant jusqu’à l’épidémie. Un soir j’ai entendu maman sortir ça la rendait folle de rester enfermer dans notre deux pièces. J’aurais dû la retenir, mais j’étais fatigué et pendant quelque seconde j’ai oublié l’épidémie et me suis rendormi. Quelques jours plus tard elle était malade. Papa s’est immédiatement enfermé avec elle, des médicaments et des provisions, nous avions beau frapper comme des malades contre la porte il refusait de nous ouvrir, deux semaines plus tard c’était le silence. Je refusais de voir l’évidence, c’est Susannah qui a fini par la formuler. Ils étaient morts, nous devions partir, nous n’avions plus rien à manger, nous devions rejoindre nos oncles et nos cousins.

A la maison nous avions trois fusils pour la chasse, ça ne servait à rien d’avoir les trois, on a juste vidé les munitions du troisièmes pour mettre dans le sac avec les autres munitions et les rares boite de conserve qu’il nous restait. Chacune armée d’un fusil ont est sorti, une fois dehors l’odeur de la mort nous a sauté au nez, on s’est vite servi d’un foulard pour se faire un cache nez, ça plus les gants que Susannah avait ingénieusement pensé à emporter, on espérait que ce serait suffisant pour ne pas tomber malade. Sans grand espoir on s’est dirigée vers la voiture familiale, mais comme prévue, notre essence avait été volée. C’était la merde, ce n’était pas comme si notre oncle habitait la porte d’à côté, désespérée on a fait le tour de toute les voitures, on a ensuite essayé de chercher un vélo. On a fini par en trouver un, j’étais la plus légère, je suis donc montée à l’arrière, nous n’avancions guère vite, mais plus qu’à pied. Sur le chemin nous croisèrent des cadavres, une bande de gamin tenta de nous attaquer, mais mon fusil les découragea. Notre première nuit fut blanche, le lendemain à peine revigoré par une boite de ravioli nous décidâmes de la route à prendre, nous n’étions pas d’accord. J’étais pour éviter Paris, Suzy au contraire disait que nous aurions plus de chance de trouver un véhicule. Nous avions aussi plus de chance de tomber malade, c’était mon contre argument et puis il y avait bien des cyclistes qui faisait le tour de France, changer de région ne devait pas être si difficile. Je ne sais plus comment, mais Suzy parvint à me convaincre, ce choix je le regrette encore aujourd’hui.

Paris était infecté de gang, nous devions tirer pour effrayer et avoir la paix, sauf qu’un moment vint et nous n’avions plus de balle et toujours plus de véhicule. Ce que nous fîmes alors me ronge encore, nous nous attaquâmes à plus faible, à une famille, deux adultes les parents et leur trois enfants, avec nos armes nous les menacèrent, c’était du bluff nos armes étaient vides, mais c’était notre dernière chance, dans la ville c’était le chaos, le manque de nourriture commençait à se faire sentir et les caïds du coin se sentaient poussait des ailes. Nous étions des femmes, nous n’étions pas naïves, nous étions des proies de choix et nous préférions mourir que de devenir les esclaves sexuelles du plus fort. Le bluff par miracle marcha pour se soulager un peu la conscience nous donnâmes nos dernière réserve de nourriture, chez notre oncle nous aurions de quoi nous sustenter. Susannah pris le volant nous dûmes emprunter les routes de campagnes car les gens avaient tenté de fuir par les autoroutes. Il nous fallut bien 5 heures pour arriver au château familiale, bien plus qu’habituellement.

L’accueil fut des plus chaleureux, j’ironise, se faire accueillir par des fusils est une véritable joie. Enfin je les comprenais, nous étions peut-être contaminés sans même le savoir. Même mon humour légendaire ne dérida personne. Mon cousin Jonas était toujours aussi sexy pour un campagnard et mes oncles n’avaient pas vraiment changés depuis Noel dernier, nous fêtions en effet chaque fête religieuse et chaque anniversaire au château, excepté cette année bien sûre car même si nous avions été invitées à des festivités, mon père était trop parano pour quitter l’appartement. Les chiens ne font pas des chats, les trois frères étaient pareils. Suzy et moi nous soumirent sans rechigner à la quarantaine, durant trois longues semaines nous reprîmes des forces, sans être médecin il était évident que notre alimentation n’était pas suffisante et que nous avions développée des carences. Je commençais à devenir un peu marteau quand on nous laissa enfin sortir de la dépendance dans laquelle nous avions été enfermés.

Deux semaines après cette liberté retrouvé les Impériaux arrivaient, ils promirent des vaccins, mais ici nous étions au royaume de la méfiance et personne ne leur faisait confiance. Le château devint rapidement un fort. Je fus la première à proposer à apprendre à tirer à ceux qui ne le savait pas. J’avais toujours détesté l’autorité et si l’arrivée des symbiontes ne m’avait fait ni chaud ni froid, celle des impériaux qui se proclamaient en sauveur m’agaçait fortement. Surtout que je trouvais étrange que l’épidémie arrive avant leur arrivée, alors que durant des mois les symbiontes avait vécu pacifiquement avec nous, les états avaient bien du vérifier si ils étaient dangereux ou non. Bref je ne croyais pas aux tissus de mensonge impérial et je n’étais pas la seule. Les impériaux se montrèrent sous un jour plus sombre quand ils nous coupèrent de toute technologie par une onde électromagnétique, heureusement mes oncles étaient des durs à cuire et avait tout prévu pour une vie en autarcie, des vaches, un poulailler, un potager. Quelques semaines survinrent sans qu’on est vraiment à se battre les Impériaux se concentrant sur les grandes villes, mais un jour vint notre tour et un ultimatum. Soit nous étions délogés de force et emprisonné, soit nous nous rendions. Je ne voulais pas me rendre, un de mes oncles aussi, son fils mon cousin, sa femme et d’autres hommes et femmes. Ma sœur se montra plus maligne que moi, elle avait prévu le coup avec mon cousin sexy, ils me mirent KO je ne sais même plus comment et quand je me réveillais tout était fini, mais en pire, il n’y avait pas que des prisonniers, il y avait des morts, ma tête de mule d’oncle et son fils entre autre. A ce moment je haïssais les Impériaux plus que n’importe qui, mais mon cousin remarquant que j’étais réveillée me bâillonna. Nous fûmes ramener à Paris et assigner à un appartement avec trois chambres. Nous étions 5, ma sœur, mon cousin, la femme enceinte de mon cousin mort, mon oncle et moi. Les autres furent parqués dans d’autre appartement.

La vie repris, il fallait trouver un job pour se nourrir, ma sœur devint prof de danse, moi j’étais anéantie, un jour passant devant un bar je vis qu’il cherchait une serveuse. J’entrais le propriétaire me mit à l’aise en me servant un whisky, je me souviens pas très bien de ce qu’on se dit, mais je fus embauchée. Un jour il m’entendit chantonner et il décida de me mettre sur scène, bien sûre j’acceptai c’était toujours mieux que de servir des pressions, enfin j’en servais encore, mais moins souvent. Frontiste comme je l’étais je me plaignais des Impériaux, sous de faux nom et pas trop, histoire de pas me faire arrêter. J’étais douée, pour un public non avertie, mes chansons étaient parfaitement innocentes. Un jour mon patron me prit à part et il m’annonça la couleur, il se battait contre les humanistes. Heureuse comme une gamine je lui roula une galoche, chose qui n’arriva plus jamais je tiens à préciser. Régulièrement il me donnait de petite mission, généralement c’était m’incruster à des fêtes impériales. J’avais deux moyens soit je jouais mon allumeuse, soit je rentrais par la porte des artistes. Je préférais la seconde option, la première revenait souvent à se laisser un peu tripoter et ça me répugnait, heureusement j’étais une admirable menteuse et je leur servais bien trop de verre pour qu’il soit en état de bander.  Je ne savais pas trop ce qu’il faisait des infos que je récoltais, mais je comprenais l’impératif de la discrétion.  Un jour je me décida de présenter mon oncle Philipe à mon patron, je n’avais pas confiance en ma sœur et en mon cousin, mais lui je savais qu’on était plus ou moins sur la même longueur d’onde. Puis un jour l’inévitable arriva, ma sœur et mon cousin étaient trop suspicieux et finirent eux aussi à être intégrés au groupe.

Si j’avais été la première à découvrir une partie du secret je fus la dernière à en découvrir la totalité. Après une nuit sans souvenir je me réveillais dans un lit inconnu entouré par ma famille. Sans tarder on m’expliqua que j’avais réussi le test pour intégrer les symbiontes. Comment j’avais réussi cet exploit je ne le sus jamais, peut-être à cause de ma sœur, probablement à cause d’elle. Dès le début j’avais souhaité me battre contre les impériaux, mais je n’étais pas certaine que de le faire auprès des symbiontes fut une bonne idée, cependant je tue mes pensées. Ma sœur et mon oncle était à 100% engagé dans la cause symbionte ils étaient même devenu des hôtes. Pour ma part je refusa, je ne fus pas la seule mon cousin aussi. Je devais protéger ma sœur alors naturellement je m’impliqua dans les affaires symbiontes. Encore aujourd’hui je doute, mais ma fidélité à ma famille garantit mon entière discrétion.


Derrière l’écran


Pseudonyme : Méropée
Âge : 26 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Mystère.
Un commentaire ? Trop heureuse.

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Théadora Billy Aasen-Monard
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