Sociologie

Armée et Police

La police est aussi présente que par le passé et elle a les mêmes missions qu’auparavant. Y entrer cependant est devenu plus difficile : les tests psychologiques ont en effet été multiplié, il n’est en effet pas question d’entendre parler de dérapage, les membres de la police sont choisis pour leur diplomatie et leur sang-froid. Ils sont les protecteurs du quotidien et sont censés faire baisser la délinquance d’année en année. Il n’existe donc pas de flic qui s’encanaille avec les méchants. Les mesures de contrôle rendent ce genre de pas de côté beaucoup trop risqué pour les quelques avantages qui pourraient en découler : ils sont par ailleurs plutôt bien payés pour un métier de plus en plus tranquille. De plus leur sécurité est renforcée, chaque policier possède en effet une combinaison bleu marine résistante aux armes humaine et un kaanaq de niveau 1 (c’est-à-dire seulement paralysant).

Seuls les humains peuvent intégrer ce corps.

L’armée est à présent plus petite, si les tests psychologiques sont plus faciles, rendant les soldats plus violents que les policiers, les attitudes physiques demandées sont bien plus élevées. Ainsi par exemple un homme doit faire 1m80 au minimum et une femme 1m70, les deux sexes doivent pouvoir courir 45 minutes, avoir des résultats au tir 50 pourcent plus haut que la moyenne et bien d’autres choses encore. Il existe trois armées, la principale est l’armée de terre, les deux dernière bien plus petite (et encore plus exigeante intellectuellement) sont l’armée de l’air et la marine. Les grades sont les mêmes que par le passé en France. Les militaires ont la chance d’avoir une combinaison kaki résistante aux armes humaines, pour les plus hauts gradés leur combinaison résiste même aux armes aliens, leur kaanaq est de niveau 2 permettant en plus de paralyser de tuer, les militaires sonaaqs (acceptés contrairement à la police) ont même le droit à des kanaaqs de niveau trois permettant ainsi de faire disparaître les dépouilles compromettantes.